À quelles exigences doit répondre un enduit intérieur ‘prêt à peindre’ ?

Le terme ‘prêt à peindre’ est déconseillé, car il ne donne pas d’information sur l’état souhaité de la surface de l’enduit ou sur le degré de finition du parachèvement ultérieur. 

Pour éviter toute discussion au sujet du rendu final de l’enduisage intérieur et veiller à une évaluation objective des travaux, les documents contractuels doivent stipuler des critères précis avant le début des travaux.  

Concernant les enduits lisses, le rendu, la qualité et les caractéristiques géométriques sont déterminés par la définition du niveau de qualité (Q1 à Q4) et la classe de tolérance géométrique souhaités (voir NIT 284). 

Si l’enduit intérieur lisse est à peindre par la suite, le peintre est tenu, peu importe le niveau de qualité, d’effectuer les travaux préparatoires, qui dépendent du degré d’exécution souhaité des travaux de peinture. Cette exigence doit également être précisée avant le début des travaux (voir NIT 249 et NIT Recap 14).